Description
Des fonderies ardennaises aux forges du Forez
L’avant-propos du livre de Marc Stampfler débute ainsi : « Combien d’enfants se sont amusés et s’amusent encore à basculer les figurines de fonte, à faire tourner les tourniquets en fer forgé qui retiennent les persiennes et les contrevents contre les façades ?
Chez mes arrière-grands-parents, les contrevents de ma chambre d’enfant étaient gardés par des têtes de bergère.
Le souvenir du jeu avec cette tête m’a conduit, voilà quelques années maintenant, à partir à la recherche de cette bergère.
De vide-greniers en brocantes, j’ai recherché cette tête plus ou moins bien gardée en mémoire.
Après en avoir chiné une, deux, puis une dizaine de figurines différentes, ce fut enfin la bonne.
Dans les caisses des brocanteurs, sur les façades, j’avais découvert diverses autres figurines : des chimères, des rois, des Turcs, mais aussi de grands « S » et d’autres encore.
Face à une telle diversité, encore supposée, à la rareté de ces objets sur les étalages des brocanteurs, qui m’affirmaient ne pas connaître de collectionneurs, je me suis pris au jeu de la recherche. »
Ce fut ensuite la rencontre avec un autre passionné : Arthur Kribs, puis des recherches qui le menèrent à Vivier-au-Court et Vrigne-aux-Bois qui, selon son expression, étaient « les capitales de la quincaillerie ».
Un livre très abondamment illustré sur un « petit patrimoine » que nous avons souvent à portée de main !